La vie d'un étudiant parmi tant d'autres

Mettre des articles du 26 / 10 / 13 au 03 /11 / 13

Le mois d'octobre n'est pas un mois que je trouve très distractif ni amusant. Pour être franc, c'est un mois que je trouve son âme et vide de sens.

C'est un des seuls mois dans l'année qui font que je me sente mal et que je me retrouve confronté nez à nez avec tout mes problèmes personnels et que l'aspect le plus fragile de ma personnalité voit le jour. 

Le 20 octobre, ( Entre 8 h 30 et 10 h )

Ce n'est peut être pour certains qu'un jour parmi tant d'autres, mais pour moi, ce jour est comme un mur que je dois franchir pour pouvoir vivre pleinement.

Cette journée avait bien commencée, c'était une des rares fois ou je dormais "correctement". Je me suis fait réveillé par le soleil qui transperçait de parts en parts les fins rideaux rouges de la chambre. Ce n'est pas dérangeant d'être ainsi réveillé, mais ça l'est plus quand je me retrouve pris d'une crise de fainéantise et que cela ne me donne même pas la motivation de me lever. Soit, je suis resté la, couché dans la même position pour une durée d'environ une heure, regardons le plafond ( c'est fou ce que cela donne à réfléchir de regarder sans cesse un mur blanc )

Au bout d'un moment, je décidais quand même à me lever, obnubilé par un fait, regarder si oui ou non j'avais reçu quelques messages. Donc, je me suis levé, j'ai pris le téléphone posé sur le bureau puis je l'alluma. A ma grande surprise, ou comme par habitude, rien, c'était le néant, aucun message reçu, certe, pas très étonnant me direz vous, mais j'aurai cru que les gens feraient au moins l'effort d'un petit message, ce n'est pas tout les jours que l'on a vingt ans. Je ne suis pas touché par l'opinion des autres d'ordre général, mais pour une occasion comme celle ci, c'est plutôt dérangeant. Soit, je passe à autre chose et c'est ainsi que commença cette journée d'octobre

Le 20 octobre, ( Entre 17 h et 19 h )

Que cela puisse paraître totalement fou ou non, je n'avais à l'heure actuelle reçu que trois messages depuis le matin, deux des messages m'étaient destiné personnellement de la part d'amis proche, le troisième était une agence publicitaire m'annonçant des réduction par rapport à l'occasion. C'est cela, je trouve de plus désespérant, quand on arrive à un point ou les commerciaux qui n'ont aucun contact avec vous qui arrivent à vous souhaitez vos voeux sans vous connaître personnellement.

Même ma propre famille ne m'avait encore rien souhaité, cela me faisait croire que quelque chose s'organiserait peut être à mon insu ( Une fête surprise, pourquoi pas, je n'ai encore jamais vécu cette expérience, cela pourrait être prometteur et amusant ) Je me promenais depuis midi sur Paris, regardant à droite à gauche ce qui pouvait être fait et ce qui m'intéresserait de faire. Ce n'est que à partir de dix huit heures que je décidais d'entamer le chemin de retour.

Puis arrivé sur place, qu'elle ne fut pas ma surprise que de voir que rien n'avait été organisé, et que ma famille même m'avait oublié. Je m'en doutais de toute façon, je ne suis pas quelqu'un à qui l'on prête beaucoup attention, je suis du genre à me fondre dans la masse et à ne pas attirer l'attention 

( Article à finir )